Toi, mon Frère…



Toi le frère que j’ai toujours eu,
Ou presque, car il m’a fallu,
Être patient, pendant près de deux ans, avant ta venue,
Dans cette famille composée d’êtres un peu, farfelus…
C’est vrai que les galères ont resserré nos liens très tôt,
Mais de nous savoir à deux pour les affronter,
A peut être sauvé notre peau.
Accompagné par la suite, par une bande d’amis soudés,
Qui n’a pas pris la fuite, devant nos soucis, accumulés…
Bien qu’issue de cette famille un peu décousue,
Tu te retrousses les manches,
Et de tes bras nus,
Tu te bats, je l’ai vu,
Pour prendre ta revanche,
Et ne pas reproduire ce que fut, ton, vécu…
La famille que tu contribues à construire au fil du temps,
réunissant
Ces quatre éléments, que sont deux parents et leurs deux enfants :
Est la preuve, que la vie se poursuit,
Même si il y a, la peur, de faire des erreurs…
Alors n’est crainte Frangin
Continues et traces ton chemin
Nulle voie n’est identique
C’est pour ça que la tienne est magique
Alors savoures la vie pleinement
Tu verras qu’elle surprend, à bien des moments…


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